122 – Les vacances à la mer

Mardi 18 Octobre, An III

Max : « Bonome… »

Le chevalier : « Oui mon petitours 🙂 »

Max : « Tu es en vacances. »

Le chevalier : « Oui mon petitours. »

Max : « Tu es en vacances et tu travailles ! »

Le chevalier : « Il faut bien que je corrige les copies… »

Max : « Et tu en as beaucoup des copies ? »

Le chevalier : « Environ 450… »

Max : « Ah oui, quand même… Et ça va prendre longtemps de corriger tout ça ? »

Le chevalier : « 24 heures environ… »

Max : « Oulala ! … Alors ça veut dire que demain à la même heure tu auras terminé ! »

Le chevalier : « Max ! Je ne vais pas passer les 24 prochaines heures assis à corriger des copies ! »

Max : « Oui, c’est vrai. Il va falloir que tu fasses des pauses. Disons 28 heures alors… On va te préparer du café et on te massera les épaules pour te détendre… Tu as ton herbe à pétun… Allez, au travail bonome ! »

Le chevalier : « Mon petitours… »

Max : « J’aime bien que tu m’appelles ‘mon petitours’ 🙂 »

Le chevalier : « Tu es mon petitours 🙂 »

Max : « Bon, je te laisse travailler… »

Plus tard…

Max : « Bonome ! Qu’est ce que tu fais ? »

Le chevalier : « Je mange. »

Max : « Tu manges ! Tu as fini ton travail ? »

Le chevalier : « Non Maxou. »

Max : « Tu as pas fini et tu te permets de manger ! »

Le chevalier : « Oui, je me le permets comme je vais me permettre de me doucher, d’aller dormir et peut être même d’aller me caféiner à la taverne à un moment ou un autre… »

Max : « Et tu auras pas fini à l’heure ! »

Le chevalier : « Max, je vais travailler au rythme qui me convient ! »

Max : « Oulala ! D’accord… Je vois ! »

Le chevalier : « Tu ne vois rien du tout ! Va chahuter avec Léo… »

Max : « Léo révise ! Il révise tout le temps… »

Le chevalier : « Alors va graver ton blog ! Il me semble que tu es de plus en plus en retard. »

Max : « C’est pas ma faute ! C’est à cause que j’ai pas de doigts 🙁 »

Le chevalier : « Maxou, mon petitours, si je te fais un gros câlin accepteras-tu de me laisser travailler en paix ensuite ? »

Max : « Un gros câlin ? Avec gratouillis ? »

Le chevalier : « Un énoooorme câlin avec supplément gratouillis 🙂 »

Max : « D’accord 🙂 »

Quatre jours plus tard… 

Le chevalier : « Max ! Bonne nouvelle ! Je viens de terminer de corriger la dernière copie ! »

Max : « Chouette alors ! Alors prépare ton sacado ! »

Le chevalier : « A cette heure ci ? Mais il est 23h ! Je le préparerai demain avant de partir… »

Max : « Mais non, pas le petit sac ! Le grand sac énorme, avec tout le matériel et des vêtements pour plusieurs jours. Et pense aux vêtements chauds… »

Le chevalier : « Le grand sac énorme ? Plusieurs jours ? »

Max : « Ben oui, on part au moins une semaine. »

Le chevalier : « Je suis ravi de l’apprendre… Et puis-je savoir où nous allons ? »

Max : « Alors demain matin, à la première heure, on part en Charentmaritimie dans notre cabane habituelle. On restera que quelques jours, le temps d’aller au Royaume des Chevaliers, sur l’Île où on va à pieds, et l’Île des Beaux Canards. »

Le chevalier : « L’Île des Beaux Canards ? Je ne connais pas cette île… »

Max : « L’Île des Aix. Aix c’est le nom du genre du canard mandarin et du canard carolin. Ce sont des beaux canards. »

Le chevalier : « Maxou, c’est l’Île d’Aix, pas l’Île des Aix… »

Max : « Tu es sûr ? »

Le chevalier : « Certain Maxou. »

Max : « Ah bon… Ça change rien, on ira quand même. Et après on part à Roubignolles. »

Le chevalier : « A Roubignolles ? »

Max : « Ben oui, à Roubignolles. »

Le chevalier : « … »

Max : « Tu as l’air perplexe mon bonome. Tu connais pas Roubignolles ? C’est pourtant un site très intéressant pour la géologie. Comment on dit déjà… Ah oui ! On peut y observer une coupe de référence pour le paléozoïque. Tu devrais connaître Roubignolles bonome. »

Le chevalier : « Roubignolles ? »

Max : « SUR MER ! ROUBIGNOLLES-SUR-MER ! En Vendée ! Bonome, quand même… »

Le chevalier : « Ce ne serait pas plutôt Brétignolles-sur-Mer ? »

Max : « Comment tu dis ? »

Le chevalier : « Brétignolles-sur-Mer. »

Max : « Maintenant que tu le dis… Oui oui, c’est ça : Brétignolles-sur-Mer. »

Le chevalier : « Et peux-tu m’expliquer ce que nous allons faire à Brétignolles ? »

Max : « Ben… On va faire la géologie ! »

Le chevalier : « Max, j’attends des explications. »

Max : « Quelles explications ? On va à Brétignolles faire la géologie. Il y a rien à expliquer. Enfin si… il va falloir que tu nous expliques tout ce qu’on va voir. Parce qu’avec Léo, on a étudié dans tes livres et on a rien compris du tout. »

Le chevalier : « Léo sait que nous allons à Brétignolles ? »

Max : « Ben oui, c’est mon cousin. On se parle tu sais. On s’entend bien tous les deux. »

Le chevalier : « Parfois trop bien… Bon, Max explique moi cette histoire de Brétignolles. Où allons-nous loger ? D’où te vient cette idée ? »

Max : « C’est à cause de Framboise… »

Le chevalier : « Tu sais Max, à trop solliciter la patience des gens, on finit par agacer… »

Max : « T’énerve pas bonome, je t’explique. C’est Framboise qui me prête une cabane à Brétignolles pour qu’on inspecte les falaises et qu’on fasse la géologie. »

Le chevalier : « Qui est Framboise ? »

Max : « Une lectrice assidue et érudite de mon blog 🙂 »

Le chevalier : « Et elle te prête sa cabane ? A toi ? Et comment se fait-il que je ne sois au courant de rien ? »

Max : « Correspondance privée 🙂 »

Le chevalier : « Correspondance privée ? »

Max : « Tu vas continuer longtemps à répéter tout ce que je dis ? Framboise m’a laissé des messages dans les commentaires de mon blog. Elle a tout lu la Bretagne et elle a beaucoup aimé. Et elle a compris que la Vendée était en gros la marge sud de l’Océan Centralien qu’on a étudié en Armorica alors elle m’a proposé de me prêter sa cabane au nord du Gondwana pour qu’on puisse continuer d’étudier l’Océan Centralien. J’ai accepté à la seule condition que tu puisses venir aussi. Parce que je voulais pas y aller sans toi. C’est gentil non ? »

Le chevalier : « Il n’y a pas d’autres conditions ? »

Max : « Si. Il faut bien étudier et après on y retournera avec elle et tu lui expliqueras tout. »

Le chevalier : « Et tu t’es engagé en mon nom ? »

Max : « Non, au mien 🙂 Je lui ai assuré que j’arriverai à te convaincre même si ‘jémpaléjens’ 🙂 Tu voudras bien ? S’il te plaît. »

Le chevalier : « Je suppose que Léo est ton complice ? »

Max : « Léo ? Ben oui, c’est mon cousin 🙂 LÉÉÉOOOO ! TU PEUX VENIR S’IL TE PLAIT ? »

Léo : « Ouiii 🙂 »

Max : « Bonome veut savoir si tu es mon complice. »

Léo (baissant la tête) : « Oui. »

Le chevalier : « Et il est inutile de vous dire non. »

Max : « Ça veut dire quoi ‘non’ ? 🙂 »

Le chevalier : « Alors allez vous coucher. Nous partons demain à la première heure 🙂 »

Max : « Tu vas pas te coucher toi ? »

Le chevalier : « Non, je prépare mon sac 🙂 »

Le lendemain matin…

Le chevalier : « Mes petizours ! Réveillez-vous ! Nous partons dans une demi-heure. »

Max : « Mmmmm… »

Léo : « Déjà ? »

Le chevalier : « Vos affaires sont prêtes ? »

Max : « Ondorencor… »

Léo : « Tout est dans notre sacoche. Tu peux la mettre dans ton sac s’il te plaît ? »

Le chevalier : « Bien sûr mon Léo. »

Léo : « Dis chevalier, moi aussi je suis ton petitours ? »

Le chevalier : « Oui mon petitours 🙂 »

Léo : « Et moi aussi je pourrais avoir un énooorme câlin avec supplément gratouillis ? »

Le chevalier : « oui, viens ici 🙂 »

Léo : « Pas maintenant 🙂 Il faut que je sorte Maxou de son lit. »

Le chevalier : « Vous vous êtes endormis tard hier. »

Léo : « Oui, on était tout énervés à cause qu’on va à Brétignolles 🙂 On arrivait pas à dormir et on a chahuté. J’espère qu’on t’a pas empêché de dormir. Je vais chercher Maxou. »

Quelques heures plus tard…

Le chevalier : « Mes petizours ! Nous arrivons ! »

Max : « Mmmmm… »

Léo : « Déjà ! »

Le chevalier : « Avez-vous bien dormi ? »

Max : « Mmmmm… »

Léo : « Ouiiii 🙂 On a tout dormi ? »

Le chevalier : « Oui, du départ à l’arrivée 🙂 »

Léo : « Oh ! Regardez ! »

Max : « Bonome ! »

Léo : « Il y a un petitours blanc ! »

Max : « On dirait qu’il nous attend ! »

Léo : « On peut aller le voir ? »

Le chevalier : « Oui, mais soyez gentils avec lui. »

Léo : « Bonjour petitours blanc 🙂 »

Max : « Comment tu t’appelles ? »

Le petitours blanc : « Bonjour Max, bonjour Léo 🙂 »

Max : « Tu nous connais ? Bonome, il nous connaît ! »

Le chevalier : « Maxou, laisse le se présenter. »

Le petitours blanc : « Bonjour chevalier 🙂 Je m’appelle Samuel mais vous pouvez m’appeler Sam si vous voulez. »

Léo : « Bonjour Samuel 🙂 »

Max : « Tu viens d’où ? Qu’est ce que tu fais ici ? Et pourquoi tu nous connais ? Tu as vu, tu as une feuille rouge brodée sur ta patte. C’est quoi cette feuille rouge ? »

Samuel : « Je viens du Lac Saint-Jean. »

Max : « C’est où le Lac Saint-Jean ? Bonome, tu connais le Lac Saint-Jean ? »

Le chevalier : « Max, laisse parler Samuel. »

Samuel : « Le Lac Saint-Jean c’est au Québec, au Canada. »

Max : « Le Québec ? Comme dans Samuel de Champlain a fondé Québec ? »

Léo : « Rholala ! Tu viens du Québec ! Tu es venu comment ? »

Samuel : « C’est un peu long… »

Max : « On t’écoute, on est pas pressés. »

Samuel : « Je suis un petitours blanc québécois. Un jour, je suis tombé sur ton blog Max et je l’ai lu mais pas tout encore. J’ai bien aimé vos aventures et le chevalier a l’air très gentil avec les petizours alors j’ai eu envie de venir avec vous. »

Max : « On peut lire mon blog au Québec ? Tu savais ça bonome ? »

Le chevalier : « Oui Maxou. »

Léo : « Mais comment tu es venu ? C’est loin le Québec. »

Samuel : « Je me suis déguisé en porte-clés et je me suis fait adopter par des zoms qui allaient à la ville-arsenal 🙂 »

Max : « C’est malin ça 🙂 »

Léo : « Et après ? Parce que c’est pas à côté la ville-arsenal… »

Samuel : « Je me suis caché dans une calèche qui passait à côté de votre cabane et j’ai sauté en route. Puis j’ai fini à pattes. Je vous attends depuis ce matin. Mais j’étais pas sûr que vous alliez venir… »

Léo : « Rholala ! Tu es un sacré aventurier toi ! »

Max : « Tout ça pour venir nous voir ! »

Samuel : « Oui, moi aussi je voulais avoir des aventures au Pays des Zoisos 🙂 »

Max : « Les aventures d’un petitours blanc au Pays des Zoisos ! Bon, tu vas venir avec nous. Ça tombe bien on va explorer des nouveaux Royaumes : l’Île des Aix, Brétignolles… On va faire la géologie ! »

Samuel : « Tabarnak ! La géologie ! »

Max : « Tabarnak ??? »

Le chevalier : « C’est un peu le oulala des québécois 🙂 »

Max : « Tabarnak… D’accord. »

Léo : « Dis Samuel, tu nous raconteras le Québec ? Il y a des zoisos ? »

Le chevalier : « Ce soir. Pour le moment allez vous installer. »

Max : « Bonome, on a un cousin québécois 🙂 »

Le chevalier : « Un troisième petitours… »

Le soir…

Max : « Bon, Samuel tu vas nous raconter le Québec ! »

Samuel : « C’est que je connais pas bien moi. Je suis tout petit. »

Léo : « T’inquiète pas. Nous aussi on est des juvéniles 🙂 »

Samuel : « J’ai quelques fotos. Vous voulez les voir ? »

Max : « Ouiii 🙂 Bonome, Samuel veut nous montrer des fotos ! »

Léo : « Dis Samuel, tu connais Samuel de Champlain ? »

Samuel : « J’ai vu sa maison à Québec 🙂 Je vous la montrerai. »

Max : « Moi je croyais que tous les québecois s’appelaient Pierre Petitpierre… »

Samuel : « Ben non, je m’appelle pas Pierre Petitpierre moi 🙂 … Voilà les fotos… »

Léo : « Rhoooo, c’est bôôôô ! »

Max : « Ça veut dire tabarnak pour Léo 🙂 »

Samuel : « 🙂 C’est comme ça chez moi : la pinède et des lacs. Plein de lacs… Des lacs partout… Et des pins. Et des fois il y a des pelouses… »

Max : « Et il y a des zanimos ? »

Samuel : « Oui, mais j’ai pas un chevalier qui m’explique alors je sais pas qui c’est les zanimos. En chemin j’ai croisé ceux-ci… »

Max : « On dirait une biche… Un loup et des bernaches du Canada ! »

Léo : « Au Canada ! »

Samuel : « Et puis eux… »

Léo : « Rholala ! »

Max : « Des grozours ! Un grozours blanc et un grozours brun ! »

Léo : « Nous on est que des petizours… »

Max : « Des peluchiformes… »

Samuel : « 🙂 Et après les zoms m’ont emmené à Québec. C’est là que j’ai vu la maison de Samuel de Champlain et sa statue. Regardez… »

Max : « Bonome, il faudra aller à la Charmante Petite Ville pour faire visiter à cousin Samuel. »

Le chevalier : « Je m’y attendais 🙂 »

Max : « On ira ? »

Le chevalier : « Nous irons. Je suis impatient de t’entendre raconter une histoire à Samuel 🙂 Pour le moment, il vous faut aller vous coucher. Le programme que tu nous a concocté est plutôt chargé Maxou. D’autant plus que nous devons lui ajouter la visite de la Charmante Petite Ville. »

Léo : « Cousin Samuel a pas de lit. »

Le chevalier : « Il dormira avec vous. Allez vous débarbouiller pour le moment. »

Max : « Les petizours ça fait souvent sa toilette 🙂 »

Léo : « Tu nous raconteras une histoire de zoiso s’il te plaît ? »

Le chevalier : « Quand vous serez propres… 🙂 »

Max : « Tu vas voir, cousin Samuel : il raconte bien les histoires notre bonome. Et quand on s’endort, il nous gratte le front et nous fait un bisou pour dire bonnuit. »

Samuel : « Rhoooo la chance ! »

Max : « Tu copies cousin Léo ! Tabarnak ! »

Léo : « Et toi tu copies cousin Samuel 🙂 »

Max : « Bonome, on veut notre histoire ! »

Les trois petizours : « Une histoire ! Une histoire ! »

Le chevalier : « D’accord. Je vais vous raconter l’histoire du chardonneret élégant. »

Léo : « Carduelis carduelis, Fringillidés. Max l’appelle le chardonneret rigolo 🙂 »

Max : « C’est notre zoiso gardien de Charentmaritimie. On en voit tous les jours même si des fois ils restent très discrets. Ils veillent sur nous. »

Samuel : « Vous avez des zoisos gardiens ? »

Max : « Oui oui 🙂 Ici c’est le chardonneret rigolo mais en Bretagne c’était le bécasseau sanderling. »

Léo : « Ça suffit maintenant ! On écoute l’histoire. »

Max : « Chut ! »

Le chevalier : « Il y a très longtemps, les oiseaux sont venus au monde un par un et nus. Dès que l’un d’entre eux apparaissait, il choisissait sa parure parmi une multitude de queues, pattes ou couleurs… Certains oiseaux étaient modestes et se satisfaisaient d’une apparence simple : noir uni pour la corneille, plumage beige pour la fauvette… Mais déjà en ces jours il y avait des oiseaux égoïstes : le fier paon prit non seulement une très large queue mais aussi une vaste palette de couleurs… Le chardonneret apparut parmi les derniers, avec des plumes incolores, et les autres oiseaux avaient presque tout pris. Il n’eut qu’une longue queue et des pattes roses. Devoir se promener nu sous les moqueries des autres oiseaux le rendait très malheureux. Chaque jour, il priait Dieu de lui venir en aide. Un jour, au réveil, il vit une douce nymphe à côté de lui. Elle lui dit : « J’ai comme mission de te venir en aide. Nous allons demander à chaque oiseau de te donner un peu de sa couleur. » Et elle promit aux oiseaux que la couleur qu’ils donneraient se régénérerait. Le premier oiseau, le pic épeiche, donna tout de suite de son beau rouge que le chardonneret se colla immédiatement sur le visage. Le corbeau dit qu’il avait assez de noir et qu’il pouvait en donner en abondance. Le chardonneret en prit de longues bandes qu’il se colla sur la queue et sur la tête. Puis vint la bergeronnette qui prit le jaune de son ventre et l’offrit généreusement. Le chardonneret en mit sur ses ailes. Le blanc lui fut offert par la spatule et le beige par le geai des chênes. Le chardonneret fut surpris par tant de générosité qui, du plus laid des oiseaux, en fit l’un des plus beaux. A cet instant il était certainement le plus heureux de tous. Depuis, quand vous apercevez un groupe de chardonnerets vous pouvez les voir bavarder ensemble. Ils se complimentent entre eux de leurs belles couleurs, remercient les autres oiseaux de leur générosité et rendent grâce à Dieu de les avoir aidés. C’est la fin de l’histoire. »

Max : « C’est pour ça qu’ils nous surveillent. A leur tour ils sont généreux 🙂 »

Léo : « Samuel a pas entendu toute l’histoire. Regardez comme il dort 🙂 »

Max : « Je t’ai vu lui gratter le front 🙂 »

Léo : « Je l’aime déjà notre cousin québécois 🙂 Petit Sam 🙂 »

Max : « Avec toutes les aventures qu’il a déjà vécues il pourrait écrire un livre. Le premier livre de Samuel… Ça commencerait comme ça : ‘Il y avait un homme de là-bas…’ »

Le chevalier : « 🙂 »

Max : « Tu veux bien nous border ? »

Léo : « Oublie pas Samuel. »

Le chevalier : « Bonnuit mes petizours. »

Max : « Bonnuit bonome. »

Léo : « Bonnuit chevalier. »

Continuer la promenade

Aller directement en Vendée

D’après une ancienne légende germanique.

2 réflexions au sujet de « 122 – Les vacances à la mer »

  1. Bonjour les Petizours !

    Oulala un nouveau cousin ! Bienvenue à Samuel ! !
    J’espère qu’on pourra faire connaissance avec lui 🙂
    Je vous souhaite de belles vacances avec plein de beaux zoisos à croiser dans les royaumes que vous inspecterez !
    Amical serrage de pattes à tous les trois 🙂
    Arthur

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