Max : « Bonjour à tous ! Soyez les bienvenus dans notre bulletin d’information en direct-différé consacré au zoisos de ce printemps ! Euh… Bonome, tu peux me régler un peu parce que je suis flou là. »
Le chevalier : « Non Max. »
Max : « Non ? Je vais rester flou pendant toute cette édition ? »
Le chevalier : « Je le crains. »
Max : « D’accord. Je vois. Mes lecteurs apprécieront. Bien, je vous demande de m’excuser pour cette interruption inopportune marquée par le manque de bonne volonté du grand dadais qui me sert habituellement de bonome. Comme vous le voyez peut-être je suis en direct-différé depuis le Royaume des Sangliers qui, il y a quelques mois, connut une catastrophe catastrophique. Mais avant de vous en parler, voyons où sont nos autres reporters de terrains. Léo, m’entendez-vous ? »
Léo : « Je vous entends très bien cher Max. Comme vous le voyez je suis en direct-différé depuis le Grand Observatoire du Grand Étang. »
Max : « Merci Léo. Petit Sam, où êtes-vous et me recevez-vous ? »
Samuel : « Je vous reçois parfaitement cousin Max. Je suis au Petit Royaume Sauvage et plus particulièrement au bord du Refuge du Pré. Le chemin est complètement inondé et il nous est impossible de nous aventurer plus loin. En plus ça sent la vase si bonome ploufe ses pieds. »
Max : « Je vois bien où vous vous trouvez cher petit Sam. Je reconnais cet arbre mort sur lequel notre cher bonome aime à s’asseoir. Yann, m’entendez-vous ? »
Yann : « Oui cher Max. Je vous avoue que je suis très intimidé. C’est la première fois que je présente un bulletin d’information en direct-différé. Je demande l’indulgence de vos lecteurs. »
Max : « Je suis sûr que vous allez très bien vous en sortir mon cher Yann. Je vois que vous êtes également au Grand Observatoire du Grand Étang. Pourriez-vous nous parler du niveau d’eau ? »
Yann : « Je peux 🙂 Je peux même vous dire que certains jours nous avons eu l’impression de le voir baisser à vue d’œil 🙂 Les images seront plus parlantes qu’un long discours. Regardez ça. »
Max : « Effectivement le niveau baisse et ce malgré les épisodes pluvieux que nous traversâmes. Nos lecteurs peuvent voir que la pluie nous arrête même pas. Nous inspectons quelque soit le temps 🙂 »
Léo : « Il faut dire que notre cher bonome a eu des envie de grand air ces dernières semaines. »
Max : « Ça c’est à cause de son virus. Pas LE virus mais son virus à lui. Celui qu’il gardait en lui depuis ses plus jeunes années. Léo, pouvez-vous expliquer un peu à nos lecteurs la virologie de la maladie de bonome ? »
Léo : « Je pense pas que cela lui plaise mais si vous me le demandez… Il faut savoir une chose c’est qu’un virus est pas vraiment un être vivant. Les êtres vivants sont constitués d’au moins une cellule. Une cellule est limitée par une membrane qui est une double couche lipidique dans laquelle sont insérée des tas de protéines. Cette limite permet de créer deux compartiments : l’intérieur et l’extérieur. Le compartiment intérieur est constitué d’un cytoplasme. C’est une espèce de gelée liquide qui contient des tas de choses dont un filament d’A.D.N. Ce filament peut être enfermé dans un noyau. Il se trouve que les virus ont pas tout ça. Ils sont formé d’une capside généralement protéique et ils contiennent une courte information génétique sous la forme d’A.D.N. ou parfois d’A.R.N. Me suivez-vous ? »
Max : « Absolument ! »
Léo : « Alors je continue. Les virus font rien tout seul. Ils respirent pas, se nourrissent pas, se reproduisent pas, grandissent pas. Pour se reproduire ils détournent nos cellules qui deviennent de véritables usines à produire des virus. C’est pour cette raison qu’ils sont qualifiés de parasites cellulaires. Pour cela, ils intègrent leur information génétique aux cellules qu’ils infectent. Un zom normal ayant déjà vécu quelques années a des tas d’informations génétiques de virus dans sa propre information génétique. Généralement, ces cellules modifiées sont détruites par le système immunitaire. Sauf que… »
Max : « Sauf que ? »
Léo : « Sauf que le système nerveux du zom contient pas de lymphocytes plus généralement appelés globules blancs. Or ce sont ces globules blancs qui détruisent les cellules étrangères ou les cellules modifiées par les virus. »
Samuel : « Donc, des cellules modifiées par des virus peuvent rester tapies dans le système nerveux. »
Léo : « C’est ça petit Sam. Par exemple dans les cellules nerveuses des ganglions spinaux. »
Max : « Qu’est ce que c’est que ça ? »
Léo : « Voyez sur le schéma. »
Léo : « Ces virus restent tapis comme l’a dit petit Sam jusqu’au jour où ils se mettent à se multiplier. Ou plutôt quand ils disent à nos cellules de les produire en masse. »
Max : « Mais pourquoi sont-ils produits d’un seul coup comme ça ? »
Léo : « Cela peut se produire en cas d’immunodépression ou de stress. »
Max : « Et notre cher grand dadais est pas immunodéprimé. »
Léo : « Pas du tout. Son bilan sanguin l’atteste. »
Max : « Reste donc le stress. Mais je préfère pas en parler. Continuez cher Léo. »
Léo : « Une fois que le virus s’est fait fabriquer par les cellules nerveuses du ganglion spinal il colonise un nerf, avance puis va s’attaquer à la peau pour faire une magnifique éruption cutanée dans une zone de la peau appelée dermatome. D’après les dermatomes touchés chez bonome, les ganglions spinaux infectés étaient ceux des vertèbres cervicales C2 C3 et C4. »
Max : « Et quelles sont les conséquences de cette infection ? »
Léo : « Je parlerais plutôt de symptômes. Il y a l’éruption cutanée et des atteintes nerveuses réversibles qui provoquent des douleurs neuropathiques et une allodynie plus ou moins marquée. »
Max : « Mais bien sûr ! »
Léo : « Le nerf sensitif étant touché dans sa gaine de myéline, il produit des sensations qui existent même pas : douleurs, frissons, sensations électriques diffuses et tout stimulus tactile peut être transformé en sensation douloureuse. »
Max : « Autant dire que notre cher bonome allait pas bien. Ça fait maintenant presque six semaines qu’il dort mal mais il cicatrise. Ses réveils nocturnes et matinaux nous ont valu de bien belles sorties dès potron-minet puisque, je cite : ‘Je préfère avoir mal en extérieur’. »
Samuel : « Je suis par tout à fait certain que bonome apprécie ce paragraphe. »
Max : « Petit Sam, c’était l’occasion idéale d’initier nos lecteurs à la virologie ! »
Samuel : « Mmmmm… Cousin Max, je pense que tu as un mauvais foie. »
Léo : « 🙂 »
Samuel : « Apparemment, bonome supporte quand même mieux les symptômes quand il cavale au froid. »
Léo : « Le froid ou la fraîcheur anesthésie un peu. Et puis quand il cavale pour contacter un zoiso il pense pas aux symptômes… »
Max : « Bien. Après cette parenthèse médicale assurée par notre cher docteur Léo, revenons à l’actualité. Vous vous souvenez sûrement de la catastrophe qui avait touché le Royaume des Sangliers cet été. En raison de diaclase ou de la dissolution des calcaires ou du gypse dans le substratum du Royaume, l’étang s’était vidé. Il nous fallait aller voir ce qu’il en était quelques mois plus tard. Regardez un peu ça… »
Max : « Inutile de vous dire qu’autrefois l’eau arrivait jusqu’aux roselières. Il ne reste actuellement qu’une petite mare peu profonde qui risque de s’assécher. Je précise que ces images datent du 20 avril et que le niveau a peut-être baissé depuis. »
Samuel : « La faune et la flore risquent d’en souffrir. »
Max : « Effectivement. Mais il reste quelques étangs dans ce Royaume. Notre passage en ce lieu fût pour nous l’occasion d’initier notre cher cousin Yann aux inspections. Nous lui avons présenté le printemps et son cortège de fleurs des sous-bois. »
Yann : « Vos inspections sont absolument passionnantes. On voit des tas de belles choses. Et puis on rigole bien tout en étudiant sérieusement 🙂 »
Samuel : « Tu es un compagnon très agréable cousin Yann. Je suis très content que tu sois parmi nous. »
Max : « Vous vous congratulerez plus tard 🙂 Revenons au Royaume des Sangliers. Les paysages y sont absolument magnifiques. »
Léo : « Bonome devrait quand même apprendre à régler son appareil pour que les fotos soient encore plus belles. Elles sont un peu trop pâles. Elles manquent de contraste et de profondeur. C’est dommage. »
Max : « Ben oui… Bien. Petit Sam, pouvez-vous dire à nos lecteurs quels Royaumes nous avons inspecté ? »
Samuel : « Oulala ! La liste est longue et j’ai peur d’en oublier. Il y a eu : le Royaume des Geais, le Royaume des Milans et ses environs, Le Trou… Le Royaume des Fauvettes est pas vraiment accessible. Le chemin est encore sous l’eau. Nous sommes bien évidemment allés au Petit Royaume Sauvage et au Grand Étang ainsi qu’à l’Écluse des Œdicnèmes. Puis nous avons terminé par Le Marais et le Royaume des Bernaches ? En oublie-je ? »
Max : « Il me semble pas. Nous vous proposons donc de faire un petit bilan de nos observations réalisées pendant le mois qui vient de s’écouler. »
Yann : « Nous avons vu des tas de zoisos ! Je savais pas qu’on pouvait en voir autant en si peu de temps ! Je les connaissais pas tous moi ! »
Max : « Il est vrai que nous avons eu des tas de belles surprises 🙂 »
Samuel : « Les mois d’Avril et de Mai sont propices aux belles observations. Les hivernants tardifs sont encore là. Les estivants arrivent et il y a les zoisos qui sont en halte migratoire. »
Léo : « Ce qui fait que nous avons des tas de zoisos à vous présenter. »
Max : « Pas seulement des zoisos. Il y a quelques Vertébrés dont nous voudrions vous parler. Nous ferons l’impasse sur les Arthropodes. Ce serait trop long. »
Yann : « Pour que l’article soit pas trop indigeste nous avons décidé de le couper en sous-articles thématiques. »
Samuel : « Il y aura… Les Passereaux et d’autres zoisos, les Rapaces, les Ansériformes. »
Léo : « Les Charadriiformes seront découpés en deux en mettant les Laridés à part. »
Yann : « Et nous terminerons par les Ardéidés. »
Max : « Et si nous mettions les Vertébrés dans cet article ? Après tout, nous en avons vu quelques uns ici ! »
Léo : « Bonne idée ! »
Samuel : « Alors c’est parti ! »
LES VERTÉBRÉS
Max : « La classification moderne des Vertébrés étant un peu compliquée nous allons conserver la classification traditionnelle. »
Léo : « Ça me fait bizarre… »
Max : « Je sais Léo. Mais il faudrait un article complet pour expliquer pourquoi les groupes que nous allons présenter existent pas. »
Samuel : « Nous allons donc parler des Amphibiens, des Reptiles et des Mammifères. »
Léo : « Ça existe même pas les Reptiles. »
Max : « Les Amphibiens non plus mais c’est par eux que nous commençons. Regardez un peu ça… »
Samuel : « Ce sont des têtards de grenouilles 🙂 Il y en avait des centaines de milliers dans les étangs du Royaume des Sangliers. »
Yann : « Si j’ai bien compris ils seront nombreux à se faire dévorer et il y en aura que quelques uns qui arriveront à l’état adulte. Heureusement sinon le Royaume serait envahi de grenouilles. »
Max : « Si nous avions que ça à faire nous irions fotoer ces têtards chaque jour pour montrer leur évolution. »
Léo : « La métamorphose est progressive. Les pattes arrières se développent les premières puis c’est au tour des pattes avant. Pendant ce temps la queue régresse. »
Yann : « Petit à petit le têtard devient une grenouille. »
Samuel : « Le plus impressionnant c’est la transformation de l’appareil digestif. Il doit s’adapter au changement de régime alimentaire. Le têtard est phytophage. Il se nourrit de matière organique d’origine végétale. La grenouille, elle, se nourrit de matière organique d’origine animale. Elle est zoophage. Dans un cas c’est l’intestin qui doit être très développé alors que dans l’autre c’est l’estomac. »
Yann : « Nous avons également vu des têtards de salamandre tachetée. »
Max : « Je suis pas sûr qu’on parle de têtard. Un têtard est une grosse tête 🙂 »
Léo : « Ce sont bien des larves. Il y en a dans l’endroit préféré de bonome au Royaume des Sangliers. On y va à chaque fois et il reste assis à profiter de la nature. Nous, pendant ce temps, on a le droit de cavaler partout autour pour observer. »
Samuel : « Et on fait la pause 🙂 »
Léo : « C’est tout pour les Amphibiens. »
Max : « On a bien entendu les pélodytes ponctués mais on a pas des fotos. »
Samuel : « On peut remettre leur cri ! »
Max : « D’accord. »
Max : « Les pélodytes on les entend dans le secteur du Trou dans les champs inondés. »
Léo : « Mais on les a jamais vus… »
Yann : « Passons aux Reptiles. J’ai découvert les tortues de Floride également appelées trachémydes écrites. »
Yann : « Leur présence est pas du tout naturelle. Ce sont les zoms qui les relâchent dans la nature parce qu’ils en veulent plus chez eux. Forcément ! Au début elles sont mignonnes et mangent pas beaucoup. Puis elles grandissent et elles mangent un doigt si on fait pas attention et les plus grandes mangent un steak par jour ! »
Samuel : « Ce sont des zoophages très voraces. »
Max : « Et il y en a partout maintenant. Les cistudes d’Europe, qui devraient être présentes, sont pas assez compétitives alors elles disparaissent petit à petit. Il faudrait arrêter de vendre des tortues de Floride. Les zoms ont pas besoin de tortues de Floride dans leur aquarium. »
Léo : « Sinon les lézards des murailles sont de sortie. Leur hibernation est terminée et ils prennent le soleil entre les averses. »
Max : « Nous arrivons donc aux Mammifères. Au Royaume des Sangliers, il y a toujours des rats surmulots. »
Yann : « Ils sont mignons 🙂 »
Léo : « Nous on les aime beaucoup mais les zoms aiment pas les rats. »
Max : « Les zoms aiment pas leurs espèces commensales. Je sais pas pourquoi. »
Samuel : « Il en reste pas moins que les rats sont des zanimos très intelligents. »
Max : « On a déjà expliqué ça. »
Yann : « Alors parlons des écureuils. J’en avais jamais vu. Et là, il y en avait un peu partout. »
Léo : « En plus, au printemps, ils sont très agités. Ils se courent après pour se draguer. »
Max : « Le film est pas terrible parce que les écureuils bougent trop vite. »
Léo : « On sait pas trop si ils font la parade ou si ils défendent leur territoire. »
Samuel : « Qui avons-nous vu d’autres ? »
Yann : « Les Lagomorphes ! Des lapins et des lièvres ! »
Léo : « Les lapins il y en a un peu partout. »
Yann : « Au Royaume des Bernaches il y a des petits. »
Léo : « Le printemps c’est la saison des petits 🙂 »
Max : « Les lièvres on les voit plus dans le secteur du Royaume des Milans jusqu’au Royaume des Fauvettes. »
Max : « Bonome a raté toutes ses fotos de lièvres. »
Léo : « Il faut dire qu’ils détallent dès qu’ils nous voient. »
Yann : « Moi j’ai bien aimé voir les sangliers. Heureusement qu’ils étaient loin sinon j’aurais eu peur. »
Max : « Ah bah ça ! Une harde de sanglier il vaut mieux la voir de loin 🙂 Apparemment il y avait pas de petits. »
Léo : « Il y avait quatre adultes au moins. Peut-être que d’autres étaient déjà passés avant qu’on les repère. »
Samuel : « Ce qui m’étonne est qu’on a pas vu de traces de sangliers au Royaume des Sangliers. »
Max : « Si je me souviens bien la terre était très sèche. Ils pouvaient pas laisser d’empreintes ni retourner la terre. »
Yann : « Aux Friches, il y avait des empreintes. »
Max : « Ah oui ! On a oublié de parler des Friches ! »
Léo : « Il y a pas que des empreintes. Il y a des traces de dortoir et même des endroits où la terre est toute retournée et où les sangliers prennent des bains de poussières. »
Samuel : « Autant dire que les Friches c’est carrément territoire sanglier 🙂 »
Max : « Et c’est seulement à quelques centaines de mètres de chez nous… »
Léo : « Oui mais c’est le début de la campagne. »
Max : « On termine avec le super méga surprise ? »
Samuel : « Ben… On a parlé des Vertébrés uniquement pour présenter ce zanimo 🙂 »
Léo : « C’était au Grand Étang, juste en face du Petit Observatoire. »
Max : « Alors ? Vous en pensez quoi ? »
Léo : « C’est même pas un chevreuil ! »
Yann : « Regardez bien ses dents ! Il a des canines très développées. »
Samuel : « C’est un muntjac de Chine ou muntjac de Reeves. »
Max : « Il a rien à faire là. Ce doit être un individu échappé de captivité. »
Léo : « D’après nos informations, il habite quelque part autour du Grand Étang depuis plus d’un an. »
Samuel : « Monsieur Christian avait fait des fotos encore plus belles au même endroit mais on se souvient plus exactement quand. Il nous les avait montrées un jour quand on pouvait encore aller dans les tavernes. »
Max : « Nous vous l’avons dit le muntjac de Reeves est pas naturellement présent ici. Cet individu s’est probablement échappé de quelque part. Mais sinon, où vit-il ? »
Yann : « Normalement, il est endémique de Taïwan. Endémique ça veut dire qu’il habite que là. Mais il a été introduit en Asie du sud-est et notamment en Chine. Et aussi aux Pays-Bas et en Grande-Bretagne. »
Max : « Ils sont pas possibles ces zoms ! A quoi ça sert d’introduire un zanimo quelque part ? Vous pouvez me le dire ? »
Samuel : « Ah oui. Mais je pense que ça va encore t’énerver cousin Max. »
Max : « Je t’écoute petit Sam. »
Samuel : « Il est fort probable que le muntjac ait été introduit pour la chasse. »
Max : « Je dis rien. Je m’énerve pas. Je reste calme… »
Léo : « Ici, le muntjac a pas de prédateur. A part peut-être le renard. »
Max : « Goupil peut s’attaquer au muntjac ? »
Yann : « Il est pas très grand le muntjac. Un mètre au garrot. A peine 45 kg. »
Max : « Oui mais goupil pèse quelques kilogrammes seulement. »
Samuel : « Il est fort goupil 🙂 »
Yann : « Il me semble que nous avons présenté tous les Vertébrés que nous avons rencontrés pendant ces quelques semaines. »
Léo : « On a pas vu goupil… »
Samuel : « Ni de chevreuil… »
Max : « Mais on peut pas voir tous les zanimos tout le temps. Ce serait plus drôle. »
Léo : « Je propose de nous arrêter là pour cette introduction. »
Samuel : « Nous nous retrouverons dans le prochain sous-article qui sera consacré aux Passereaux. »
Max : « Plus quelques autres espèces. »
Yann : « A tout de suite ! »