Max : « Bonjour à tous ! »
Léo : « Soyez les bienvenus dans notre bulletin d’informations en direct-différé ! »
Samuel : « Que s’est-il passé en ce long week-end ? »
Max : « Pfff ! Il était pareil que d’habitude ce week-end ! »
Léo : « Le lundi était férié ! »
Max : « On s’en fiche ! Bonome a pas schola le lundi ! »
Samuel : « Oui mais il y a eu des tas d’observateurs un peu partout ce lundi ! »
Max : « C’est vrai ! Et ce malgré la pluie ! »
Léo : « Nous avons le plaisir de vous annoncer que la pluie arrête plus du tout bonome. Quand il a envie de sortir, il sort et puis c’est tout ! »
Samuel : « C’est comme cela que nous avons eu une magnifique surprise ce lundi 🙂 »
Max : « Mais commençons par ce samedi. »
Léo : « Nous vous avions parlé d’un plongeon catmarin repéré par Antoine au Grand Royaume. »
Max : « Un catmarin ? C’était pas un plongeon imbrin ? »
Samuel : « Non non, c’était bien un catmarin, Gavia stellata, Gaviidés. »
Max : « D’accord. Il faudra vérifier notre précédent bulletin alors. »
Léo : « Oui Maxou. Bien évidemment nous sommes allés au Grand Royaume pour prendre des nouvelles de ce plongeon. »
Max : « Mais nous l’avons pas vu ! Zutalor ! »
Samuel : « C’est goupil qui nous a accueillis au Grand Royaume ! »
Max : « Et vlan goupil ! Dès notre arrivée ! »
Max : « Bon, il était un peu loin et on le connaît pas encore ce goupil. Alors il est pas venu nous voir. Mais on l’a vu quand même ! »
Léo : « On va finir par connaître tous les goupils de notre secteur 🙂 »
Samuel : « Rhooo la chance ! »
Max : « Puis nous vîmes deux pics épeiches d’un coup ! »
Léo : « C’est la première fois que nous en voyons un sur un fil électrique… »
Max : « L’autre était dans l’arbre juste à côté. »
Samuel : « Je signale tout de suite le picpic qui est passé près de nous en criant un peu plus tard. »
Léo : « Mais pas de pic noir cette fois ! »
Max : « Nous retournerons sûrement inspecter ce Royaume pour avoir plus d’informations sur les pics. »
Léo : « Et les autres zoisos ! »
Max : « Bien sûr petit Sam ! »
Léo : « Sinon nous avons rien vu d’exceptionnel ce jour là. »
Max : « Surtout pas le plongeon ! »
Samuel : « Des vanneaux sont passés au-dessus de nous… »
Léo : « Parmi les foulques nous avons repéré un couple de nettes rousses en plein repos. »
Max : « Et nous avons croisés de nombreux passereaux comme ces pinsons des arbres… »
Léo : « Le plus étonnant dans ce Grand Royaume c’est le nombre de ramiers, de bisets, d’étourneaux, de corneilles… »
Max : « Ils se comptent pas dizaines ! »
Samuel : « Peut-être même pas milliers pour les ramiers ! »
Max : « Voilà pour le Grand Royaume. »
Léo : « Après avoir cherché pendant trois heures le plongeon bonome décida de passer voir au Grand Étang si les harles étaient toujours là. »
Samuel : « Avec un petit détour par l’Écluse des Œdicnèmes. Il était convaincu d’y croiser des mammifères. »
Max : « Il espérait voir des sangliers. »
Léo : « A la place, nous avons vu des chevreuils ! »
Max : « Vous voyez certainement les bois sur l’un de ces chevreuils. »
Léo : « C’est donc un mâle. »
Samuel : « Je rappelle que chez les Cervidés les bois sont caducs. Ils tombent à la fin de l’hiver pour repousser au printemps. »
Max : « Leur développement est maximal au moment du rut. »
Léo : « Le rut est tardif, en général en automne. C’est parce que la gestation est longue. Avec un rut tardif, les petits naissent bien au printemps. »
Samuel : « Revenons aux bois. Ce sont pas des cornes ! »
Max : « Ben non ! Les cornes sont des gaines cornées qui recouvrent une base osseuse. Elles sont en kératine, comme les ongles, les sabots, ou même les poils. Ce sont des productions épidermiques. »
Samuel : « Ça s’appelle les phanères. »
Max : « Merci pour ce mot compliqué que personne connaît à part toi petit Sam 🙂 Revenons aux bois. »
Léo : « Les bois sont des os ! Ils ont des vaisseaux sanguins et des nerfs. »
Max : « Au début, ils sont couverts de velours. Le velours est lui aussi vascularisé et ça facilite la croissance des bois. »
Samuel : « Il faut préciser que les bois sont de plus en plus grands d’année en année. Ça permet d’estimer l’âge du mâle. »
Max : « Puis les mâles frottent leurs bois contre des arbres pour enlever le velours. »
Léo : « Les bois ne sont plus vascularisés que par l’intérieur. Mais c’est pas grave puisque la croissance est terminée. »
Samuel : « Vous vous demandez sûrement à quoi ils servent ces bois. »
Max : « Déjà, ça plaît aux femelles. Elles préfèrent faire des petits avec des mâles aux beaux bois. »
Léo : « Et puis ça permet aux mâles de s’affronter en combats rituels pendant les parades. »
Samuel : « Ils se blessent rarement. C’est vraiment rituel. »
Max : « Et puis, apparemment, les bois ont un fonction d’amplification des sons. Plus les bois sont grands, mieux le chevreuil entend. »
Léo : « Voilà 🙂 »
Max : « Puis les bois tombent. »
Samuel : « C’est pas douloureux pour l’individu. En fait, les vaisseaux sanguins se ferment à la base du bois. Il y a plus de vascularisation. »
Max : « Plus d’apport de dioxygène et de nutriments. »
Léo : « Les nerfs meurent. Ça peut plus faire mal. »
Samuel : « Puis le bois meurt lui aussi. Il se détache et tombe. »
Léo : « J’aimerais bien trouver des bois moi. »
Max : « Rho oui ! Pour ma collection ! »
Samuel : « Il faudrait inspecter le Marais Boisé. Les chevreuils y habitent. On pourrait y trouver des mues. »
Max : « J’en parlerai à bonome. »
Léo : « Bon, vous connaissez tout sur les bois maintenant. »
Samuel : « Si vous avez des questions nous serons ravis d’y répondre. »
Max : « Passons au Grand Étang… »
Samuel : « Les harles sont plus là… »
Léo : « Du coup, le premier observatoire a perdu beaucoup de son intérêt. »
Max : « Il y a les grébus ! Et les passereaux ! »
Léo : « Oui, mais on a à peine regardé. Nous sommes allés au Grand Observatoire rapidement. »
Samuel : « Et nous avons vu goupil ! »
Max : « Il était occupé goupil alors il est pas venu bavarder. »
Léo : « En plus il y avait des fotoeurs qui le fotoaient. »
Max : « On les connaît maintenant ces fotoeurs. »
Samuel : « Cousin Max, tu commences à avoir une certaine notoriété dans le petit monde des ornithologues de l’Est Francilien 🙂 »
Max : « NOUS commençons ! C’est mon nom dans Faune IDF mais je publie au nom de notre tribu ! »
Léo : « Comme on observait goupil bonome on en a profité pour fotoer des passereaux. »
Max : « Rougegorge… »
Léo : « Des chardonnerets rigolos… »
Samuel : « Puis nous sommes entrés dans le Grand Observatoire. »
Max : « Et il y avait un autre goupil ! »
Léo : « Deux goupils en deux minutes ! »
Max : « Il était surpris de nous voir alors il s’est sauvé. »
Samuel : « C’est le goupil à la queue rase. »
Max : « Ils sont pas en forme ces goupils ! L’un est galeux, l’autre a la queue rase ! Mais ils veulent pas venir pour qu’on leur mette la pommade ! »
Léo : « Ils se débrouillent très bien tout seuls Maxou. »
Samuel : « Je précise qu’il arrive que les goupils vivent en groupe mais c’est pas une meute. Il y a pas de relations hiérarchiques entre eux. Ils sont copains sur le même territoire et c’est tout. »
Max : « Il leur arrive quand même de chasser ensemble. »
Léo : « Nous avons pu observer deux oies cendrées qui faisaient sa toilette. »
Samuel : « La bergeronnette des ruisseaux faisait sa toilette elle aussi. »
Max : « C’était l’heure de la toilette 🙂 »
Léo : « Elle a pas de bavette noire cette bergeronnette des ruisseaux… »
Max : « Ben… Léo ! C’est une premier hiver ! Elles ont pas de bavette noire les premiers hivers ! »
Léo : « Bah oui ! Suis-je bête ! »
Samuel : « Non cousin Léo, tu es pas bête. Tu es parfois étourdi. »
Léo : « Merci petit Sam 🙂 »
Max : « Nous allions partir quand il est arrivé ! »
Samuel : « Le garrot à œil d’or ! Juste là ! »
Max : « Ça devient habituel pour nous de voir le garrot. »
Léo : « Un fotoeur, monsieur Christian, nous a dit qu’un autre fotoeur avait essayé de le voir toute la matinée et qu’il est reparti sans l’avoir aperçu même de loin ! »
Samuel : « Et nous, vlan le garrot ! »
Max : « C’est parce que les zoisos nous aiment bien 🙂 »
Léo : « Après avoir vu le garrot nous pouvions partir. »
Max : « Mais il faisait beau, bonome avait encore de la batterie dans son appareil alors on a filé au Refuge du Pré. »
Samuel : « Au début on voyait rien du tout ! »
Max : « Tellement du rien du tout qu’on s’attendait à voir arriver des garde-bœufs ! »
Léo : « Je rappelle que nous avons souvent vu des garde-bœufs qui gardaient du rien du tout ! »
Samuel : « Puis une crécerelle est passée en rase motte pour chasser ! »
Max : « Ce qui fait s’envoler huit zoisos qu’on avait même pas vus ! »
Léo : « Nous avons attendu qu’ils se posent pour les observer. »
Max : « Les voici… »
Max : « Ce sont des pipits, ça c’est sûr. Mais on est pas très forts en pipits… »
Samuel : « Je peux regarder mes fiches si vous voulez. Vous hésitez entre qui et qui ? »
Max : « Pipit farlouse et pipit des arbres. »
Samuel : « Je dois avoir une fiche… Elle est là ! Alors… Je commence par qui ? »
Léo : « Moi je pense plutôt à des farlouses. On en a déjà vu ici. »
Samuel : « Le pipit farlouse… Oulala ! Il y a beaucoup de critères et je sais pas si on va bien voir sur les fotos ! Le bec est plutôt fin avec une base jaune. »
Max : « On dirait bien. »
Samuel : « Sourcil peu marqué et cercle oculaire pâle. »
Léo : « Cercle oculaire évident ! »
Max : « Le sourcil est effectivement peu marqué… »
Samuel : « L’espace sous mustacien est-il étroit ? »
Max : « C’est quoi ça ? »
Samuel : « La zone sous la moustache ! Elle est bien blanche ? »
Max : « Ben non ! On la voit à peine ! »
Samuel : « D’accord. Les stries de la poitrine ressemblent-elles à celles des flancs ? »
Max : « Je vois pas bien de différences… »
Léo : « Moi non plus ! »
Samuel : « Les pattes sont-elle jaunes/rose ou brunes ? »
Léo : « Pas facile à voir… »
Samuel : « Et on voit pas l’ongle postérieur… Les premiers critères laissent quand même penser que ce sont des farlouses. »
Max : « C’est pas moi qui te contredirai. »
Léo : « Moi non plus ! Tu en as beaucoup des fiches comme celles-là ? »
Samuel : « Pas assez ! Mais j’y travaille ! »
Max : « Tu es sûr que tu es pas autiste ? »
Léo : « MAX ! C’est pas parce que petit Sam étudie plus que nous qu’il est autiste ! »
Max : « On le voit jamais faire ses fiches ! Comment il les fait ses fiches si on le voit pas faire ? »
Léo : « Je sais pas ! Mais c’est pas une raison pour dire qu’il est autiste ! Tu dis plus jamais que petit Sam est autiste ! »
Max : « Sinon tu me mords ? »
Léo : « Je te mords et je te mets au coin ! »
Samuel : « Ah non. C’est moi qui mets au coin 🙂 »
Léo : « Alors je le mords et je lui botte les fesses ! »
Max : « Tu me menaces ? En plein direct-différé ! Nos lecteurs sont témoins ! »
Léo : « Et ils sont certainement d’accord avec moi ! »
Max : « Ah… Bien… D’accord… »
Léo : « Elles sont très bien tes fiches petit Sam. Je suis impressionné 🙂 »
Samuel : « Merci cousin Léo 🙂 On termine le samedi ? »
Max : « Oulala oui ! Ça fera oublier à Léo ses envies de morsure et de bottage de fesses ! »
Samuel : « Alors on termine cette sortie de samedi par les traditionnelles fotos de crécerelle en train de muloter ! »
Max : « La signature de bonome 🙂 »
Léo : « Vous avez bien évidemment reconnu un mâle. »
Max : « C’est monsieur Crécerelle. »
Léo : « Sa calotte est grise et sa queue a qu’une barre noire subterminale. »
Max : « Voilà voilà 🙂 »
Samuel : « Nous nous retrouvons après une courte pause. »
Max : « La pause est finie ! »
Léo : « Passons à la suite. »
Samuel : « Dimanche, pas d’inspection. Bonome avait des tas de copies à corriger. »
Max : « Il a terminé lundi vers 13h. Et il a immédiatement sauté dans ses chaussettes. »
Léo : « Et ses chaussures ! »
Samuel : « Il a négligé la pluie ! »
Max : « Nous avions deux missions : essayer de trouver le plongeon du Grand Royaume et dénicher une autre surprise quelque part au Royaume de Rien du Tout. »
Léo : « Mais quand nous sommes arrivés au Royaume de Rien du Tout, la pluie a redoublé ! »
Max : « Il pleuvait déjà quand nous sommes partis mais ça n’avait pas rebuté super bonome ! »
Léo : « Mais là, c’était vraiment pas possible d’inspecter dans ses conditions. »
Samuel : « Alors nous avons effectué un repli stratégique au Grand Étang. »
Max : « Il pleut pas dans les observatoires 🙂 »
Léo : « D’autant que la pluie a cessé ! »
Samuel : « Et il y a eu une grande agitation chez les passereaux ! »
Max : « Troglo avait l’air surpris de nous voir ! »
Léo : « Ce jeune merle aussi a eu l’air surpris ! »
Max : « En fait, tous les zoisos avaient l’air surpris. Ils s’attendaient pas à nous voir avec cette pluie. »
Samuel : « Et ils ont pas vraiment fait attention à nous. »
Léo : « Il y avait des pinsons des arbres… »
Max : « Des chardonnerets rigolos ! »
Max : « Mais on les a grondés ! Les chardonnerets se doivent d’être sur les chardons ! Et là, ils étaient sur des bardanes ! »
Léo : « Ce sont des chardonnerets et non des bardannerets ! »
Samuel : « Mais ils nous ont pas écoutés du tout ! »
Max : « Ils nous ont même nargués ! »
Léo : « On a préféré les laisser faire. Ils avaient faim. Alors qu’ils se nourrissent de graines de chardons ou de graines de bardane, on s’en fichait un peu en fait. »
Max : « Une mésange charbonnière est venue nous observer en se perchant sur un poteau. »
Léo : « Je crois qu’elle s’est un peu moquée de nous ! »
Max : « Mais c’était bien ! On était entourés de passereaux qui voletaient et piaillaient en se nourrissant ! »
Samuel : « Au bout d’un moment on est quand même allés dans l’observatoire. »
Léo : « Il y avait pas beaucoup des zoisos. Et puis, on avait pas envie de rester trop longtemps. On trépignait en espérant retourner au Royaume de Rien du Tout ! »
Max : « Bonome a quand même fait quelques fotos. »
Léo : « La bergeronnette des ruisseaux… »
Samuel : « Et monsieur Grobec en plumage d’éclipse. »
Max : « Tu dis des erreurs petit Sam ! C’est madame Grobec ! Pas monsieur ! »
Samuel : « Ah oui 🙂 J’ai pas bien observé. Pardon 🙂 »
Léo : « En repartant on a recroisé goupil 🙂 »
Samuel : « Je crois qu’il s’habitue vraiment à nous. »
Léo : « C’est vrai qu’il s’est pas vraiment sauvé. »
Max : « Mais il est pas venu mettre sa pommade ! »
Léo : « C’est un zanimo sauvage Maxou. »
Max : « Et alors ! On veut pas le domestiquer ! On veut le soigner ! Les fotoeurs sont pas gentils avec lui ! Ils disent qu’il est tout galeux ! »
Samuel : « On s’en fiche de ce qu’ils disent. Nous on l’aime comme il est goupil. »
Léo : « Et on a des tas de fotos ! On fait rien qu’à le voir ! »
Samuel : « On en a de la chance ! »
Samuel : « Sur le chemin nous avons revu les passereaux… »
Léo : « Quand nous sommes arrivés au premier observatoire, c’était l’heure de la pêche. »
Max : « Les grands cormorans pêchaient, les grébus pêchaient… »
Samuel : « Des grands cormorans se sont même chamaillés pour un poisson ! Regardez ! »
Max : « On arrive pas à savoir si c’est le pêcheur qui a gloubé le poisson ou si il se l’ai fait chiper ! »
Léo : « Le parent grébu s’est rien fait chiper du tout. Il a attrapé un poisson pour son petit. »
Samuel : « Le petit ploufe déjà pour se nourrir mais il est pas encore autonome. Il a besoin de son parent. »
Max : « Il faut qu’il se dépêche de grandir parce que l’hiver arrive. »
Léo : « La météo annonce une baisse de température cette semaine. »
Max : « Il faudra qu’on se couvre. Bon, bonome avait pas envie de rester là. Il voulait retourner au Royaume de Rien du Tout. »
Samuel : « Nous aussi ! Rholala ! »
Léo : « On devait se dépêcher parce que le soleil commençait déjà à baisser sur l’horizon et il allait être difficile de fotoer. »
Max : « Nous nous sommes installés tranquillement et bonome a fotoé tous les fuligules ! »
Léo : « Il y avait une cinquantaine de morillons. »
Max : « Et sept ou huit milouins… »
Samuel : « Et puis lui 🙂 »
Max : « Oui, d’accord, c’est pas la foto du siècle, je le reconnais. Mais bonome fait ce qu’il peut ! »
Léo : « Il était loin ce fuligule à bec cerclé. Et je vous rappelle qu’il faisait très gris ce jour ! »
Samuel : « Surtout à 16h30 ! »
Max : « Un fuligule à bec cerclé ! »
Samuel : « Aythya collaris, Anatidés ! »
Léo : « Une première pour nous ! »
Max : « C’est sûr que c’est pas tout le monde qui a déjà vu un fuligule à bec cerclé 🙂 »
Samuel : « On vous remontre des fotos… »
Max : « Normalement le fuligule à bec cerclé habite pas par ici. Il est originaire d’Amérique du Nord. C’est rare de le voir dans la région. »
Léo : « Mmmmm… »
Samuel : « Pourquoi tu mmmmmes cousin Léo ? »
Léo : « Je sais pas… Remontrez moi la foto de 16:01:57 s’il vous plaît. »
Max : « La foto de 16:01:57 ? »
Léo : « Oui, s’il te plaît Maxou. »
Samuel : « Je sais ! C’est celle-ci ! »
Léo : « Merci petit Sam ! C’est bien ce que je pensais ! »
Samuel : « Bien vu cousin Léo ! »
Max : « Ça alors ! »
Léo : « Bonome l’a fotoé dès notre arrivée et il s’en est pas rendu compte ! »
Samuel : « Il faut dire que les fuligules morillons et à bec cerclé sont pas faciles à distinguer ! »
Max : « Le morillon a le bec gris bleuté plutôt clair avec la pointe noire.. »
Léo : « Alors que le bec cerclé a le bec un peu compliqué à décrire. D’abord, il y a un anneau blanc à la base du bec. Puis il y a du gris bleuté, un anneau blanc et la pointe noire. »
Samuel : « Ça fait pas beaucoup de différences, surtout de loin ! »
Max : « Mais bonome l’a repéré quand même parmi plus d’une centaine de morillons ! »
Léo : « Il est trop fort bonome 🙂 »
Samuel : « Rho oui ! Il nous trouve toujours de beaux zoisos ! »
Max : « C’est sur ces belles paroles de notre petit Sam que nous arrivons au terme de notre bulletin d’informations en direct-différé. »
Léo : « Nous espérons qu’il vous a plu ! »
Samuel : « Et nous vous disons : à bientôt ! »